Mdrrrrrrrrrr vous etes tous les deux des grands malades.
Au fait, c'était quoi la question?
Bisous les garçons
Helene
^^
le "temps de cerveau disponible", c'est le moins problématique
Là, nous ne sommes pas d'accord.
Pour moi, on est au cœur du problème, à une certaine époque, une simple compréhension des mécanismes publicitaires permettait une distanciation et en limitait considérablement l'impact, or, désormais, celle-ci n'est plus possible.
qui s'est rendu compte enfant, qu'il éprouvait un sentiment de gloire, de joie ou de supériorité lorsque dans la pub des Biscuits Prince, on tue un dragon en mangeant les dits biscuits
Mais les parents pouvaient en démonter les ficelles grossières.
Aujourd'hui, en neuromarketing, on est désormais capable de diriger l'attention précisément et même d'agir sur la courbe électro-encéphalique pour injecter le message avec une précision absolue.
Par ex, quand on interrompt un programme en plein pic de stress (disponibilité de type primaire) pour taper en dessous de la ceinture du fonctionnement neuronal, à ce moment, on rentre dans une mécanique de lavage de cerveau et en être informé n'a désormais que peu d'influence.
Ainsi, quand tu argumentes (lors de l'éducation de tes enfants par ex) que le tabac est mauvais mais que les séries, les films, la télé répètent à l'envie par le biais d'images tabagiques positives avec une précision jamais atteinte, que ça n'a pas de conséquences, que c'est swagg, que tous ceux qui fument ont de bonnes positions sociales, alors tu détruits une grosse partie du travail éducationnel...
Leur cerveau entend le discours parental, aussi justifié/argumenté/expliqué soit-il et le met en exergue avec les contradictions apportées par ce matraquage subliminal, le match en devient inégal, sauf à utiliser les mêmes techniques en opposition...