Bonjour à tous,
Nous vous proposons de voter pour élire la meilleure histoire clash of clans sur le thème d'halloween
Nous avons sélectionné les 3 histoires les plus terrifiantes 
! Vous n'allez plus pouvoir dormir après !!!
Joyeux Halloween
Histoire numéro 1 :
Histoire numéro 2 :
Histoire numéro 3 :
Nous vous proposons de voter pour élire la meilleure histoire clash of clans sur le thème d'halloween
Nous avons sélectionné les 3 histoires les plus terrifiantes ! Vous n'allez plus pouvoir dormir après !!!Joyeux Halloween
Histoire numéro 1 :
Helsinki, hivers de l'an 1359,
Dans une calme chaumière perdue au milieu des bois, vivait Conan un homme simple ayant pour seul apparat son kilt avec une ceinture de cuir ornée d'une boucle en forme de bouclier et son épée fétiche « Atlante » qui ne le quittait jamais. Après de nombreux combats pour défendre son village des infâmes gobelins venus piller, or, élixir et femmes, Conan eu l’immense honneur de se voir offrir la fille du chef du village en mariage. Karela, archère hors pair, devint ainsi sa femme à la suite de la grande cérémonie organisée sur la place de la statue du légendaire P.E.K.K.A. Quelques câlins plus tard naquit la petite Eleanor qui avait toute la beauté de sa mère.
Un soir du rigoureux hiver de l’an 1359, le vent faisait claquer les volets de la chaumière et un air glacial s’immisçait dans l’antre du glorieux Conan. Des grincements inquiétants se faisaient entendre dans toute la chaumière. Quelques éclairs permettaient de fendre l’épaisse pénombre régnant à l’extérieur et laissaient apercevoir un bref instant des corbeaux s’en donnant à cœur joie sur les restes des cochons terrassés par le froid et les arbres croulant sous le poids de la neige. Quand soudain, en plein milieu de la nuit, retenti un son provenant de la chambre d’Eleanor :
… la petite Eleanor frémissante lui disant d’une voix à peine audible :
Dans une calme chaumière perdue au milieu des bois, vivait Conan un homme simple ayant pour seul apparat son kilt avec une ceinture de cuir ornée d'une boucle en forme de bouclier et son épée fétiche « Atlante » qui ne le quittait jamais. Après de nombreux combats pour défendre son village des infâmes gobelins venus piller, or, élixir et femmes, Conan eu l’immense honneur de se voir offrir la fille du chef du village en mariage. Karela, archère hors pair, devint ainsi sa femme à la suite de la grande cérémonie organisée sur la place de la statue du légendaire P.E.K.K.A. Quelques câlins plus tard naquit la petite Eleanor qui avait toute la beauté de sa mère.
Un soir du rigoureux hiver de l’an 1359, le vent faisait claquer les volets de la chaumière et un air glacial s’immisçait dans l’antre du glorieux Conan. Des grincements inquiétants se faisaient entendre dans toute la chaumière. Quelques éclairs permettaient de fendre l’épaisse pénombre régnant à l’extérieur et laissaient apercevoir un bref instant des corbeaux s’en donnant à cœur joie sur les restes des cochons terrassés par le froid et les arbres croulant sous le poids de la neige. Quand soudain, en plein milieu de la nuit, retenti un son provenant de la chambre d’Eleanor :
- « Papa, papa, papa, maman, maman »
- « vas voir ce qu’elle veut Conan, elle a du faire un cauchemar »
- « Papa, il y a un monstre sous mon lit ! »
- « Mais non ma petite, les monstres n’existent pas. Les derniers dragons sauvages ont été domestiqués il y a des années et les boulistes n’existent que dans l’imagination débordante des mages. »
- « Papa, il y a un monstre j’en suis sûre »
… la petite Eleanor frémissante lui disant d’une voix à peine audible :
- « Papa, il y a quelqu’un dans mon lit »
Histoire numéro 2 :
LE chatiment de la sorciere
Le parc était plongé dans l’obscurité et en ce mois d’octobre, elle se hâtait de rentrer chez elle, la nuit étant déjà bien entamée et le froid commençant à la faire claquer des dents. Elle marchait, la tête rentrée dans les épaules quand soudain, un bruissement de feuilles attira son attention. Une plainte s’éleva du buisson près d’elle. Elle s’approcha, pensant trouver un enfant perdu en pleurs mais lorsqu’elle écarta les branches, rien ne se trouvait derrière. Perplexe, elle reprit son chemin. De nouveau, elle entendit le même bruissement de feuilles suivi d’un gémissement semblable au précédent. Cette fois-ci, elle pressa le pas, le bruit continuant de la suivre. Il lui semblait l’entendre de tous les côtés et plus elle accélérait, plus il se rapprochait. La sortie apparut enfin devant elle, après ce qui lui parut durer une éternité. Au moment où elle tendit le bras pour ouvrir le portail, une silhouette surgit de l’obscurité et lui sauta dessus. Elle roula au sol en se débattant, se protégeant le visage des mains qui lui lacéraient le visage. D’abord surprise, elle mit un certain temps à se rendre compte que son agresseur ne mesurait pas plus d’un mètre et put donc facilement se débarrasser de lui. Cependant, le répit fut de courte durée car à peine fut-elle debout qu’il se releva et bondit dans les airs. Lorsqu’il fut assez proche de la jeune fille, celle-ci le frappa et il finit sa chute contre un arbre. A ce moment-là, les nuages s’écartèrent et la Lune éclaira son assaillant. Elle s’avança pour mieux le distinguer et retint un cri d’horreur. Ce qui se tenait devant elle n’avait rien d’humain. Un squelette gisait au sol, le bras gauche s’étant détaché du reste du corps et reposant un peu plus loin sur l’herbe. Ses ongles étaient tâchés de son sang et ses dents tenaient fermement un bout de son manteau, arraché pendant leur lutte. Soudain, les os se mirent à trembler puis, lentement, ils se rapprochèrent les uns des autres pour s’assembler et reconstituer le squelette détruit. Ce dernier tourna son crâne vers elle et la fixa de ses orbites vides. Etrangement, il ne l’attaqua pas, comme elle s’y attendait, mais poussa un cri, aigu et plaintif, qui résonna lugubrement dans la nuit. Puis, le silence retomba et avec lui, le brouillard apparut. Une nappe blanche planait désormais sur tout le parc, enveloppant les arbres et les bancs de ses longs bras. La terre remua et s’agita sous ses pieds. Tout d’abord, des centaines de petites mains squelettiques et crochues surgirent. Ensuite, des centaines de crânes aux orbites vides percèrent le sol. Enfin, des centaines de squelettes émergèrent, chacun tenant un petit glaive rouillé. Une armée entière lui faisait face, les bras raclant le sol, leurs ongles produisant un son grinçant sur le bitume. Ils l’encerclèrent et tout comme le premier, restèrent à distance, sans bouger. Paniquée, elle tenta de fuir mais ses jambes refusèrent de lui obéir. Vous avez tous fait ce cauchemar où, incapable de bouger, vous ne pouvez vous enfuir d’une horde d’assaillants et finissez par vous faire dévorer vivant… Tandis qu’elle s’acharnait à essayer de soulever ses pieds du sol, de la fumée monta du sol, formant une colonne verdâtre au milieu du cercle. Une forme humaine se dessina à travers les volutes de fumée et une femme à la peau aussi blanche qu’un cadavre en sortit. Vêtue d’une robe grise et prune, dont le bas était déchiré, elle portait sur ses épaules une cape violette, elle aussi déchirée, qu’elle avait rabattue sur sa tête. Elle possédait pour seul accessoire, un sceptre en bois, surmonté d’un crâne aux cornes dorées. Elle observa l’adolescente de ses yeux rouges luisant comme deux gouttes de sang dans la nuit. Cette dernière ne pouvait détacher son regard de cette scène terrifiante. La sorcière lévita jusqu’à elle et d’une voix lugubre dit :
- Comment oses-tu toucher à mes enfants ? Les malheureux imprudents tels que toi ne méritent que le pire des châtiments, finit-elle dans un sourire carnassier.
A ces mots, elle brandit son sceptre qui émit une sphère lumineuse verte qu’elle lança sur la jeune fille. Celle-ci fut propulsée contre un tronc d’arbre et retomba lourdement au sol. A moitié étourdie, elle vit une partie de l’armée squelettique fondre sur elle et la clouer au sol. Elle s’agita mais malgré leur petite taille, leur nombre était trop grand et elle fut rapidement dépassée. Leurs petites mains s’accrochaient à elle, lui griffant les bras, les jambes et le visage. Certains lui mordaient les mollets, et le sang s’écoula bientôt de tout son corps, formant une auréole macabre autour d’elle. Elle pouvait les sentir grouiller comme des vers contre sa peau meurtrie et bien que cela la répugnât, elle était incapable de sortir de cet enfer. Du coin de l’œil, elle vit que le reste des squelettes s’affairait à creuser un trou et comprit avec horreur ce que la sorcière entendait par « le pire des châtiments ». Elle n’eut cependant pas le temps de s’affoler car deux paires de pattes noires la soulevèrent du sol puis la jetèrent dans le trou. Ses porteurs étaient deux monstrueuses créatures noires pourvues de deux petites ailes sombres et dont le corps difforme était parcouru de lave. Ils se positionnèrent au-dessus d’elle et ouvrant la bouche, ils déversèrent un torrent de flammes qui s’arrêta soudainement, tout près du visage ensanglanté de la jeune fille. Puis, le ciel de lave se fissura et, goutte à goutte, le feu se déversa lentement sur le corps allongé dans la tombe, creusant la chair chaque fois un petit peu plus. Elle hurla jusqu’à la fin et lorsque ce fut terminé, les squelettes l’enterrèrent.
Cette histoire est désormais devenue une légende que l’on raconte aux enfants le soir mais chaque année, au soir d’Halloween, on peut entendre des hurlements provenant de ce parc et jamais personne n’a osé s’y aventurer depuis…
Le parc était plongé dans l’obscurité et en ce mois d’octobre, elle se hâtait de rentrer chez elle, la nuit étant déjà bien entamée et le froid commençant à la faire claquer des dents. Elle marchait, la tête rentrée dans les épaules quand soudain, un bruissement de feuilles attira son attention. Une plainte s’éleva du buisson près d’elle. Elle s’approcha, pensant trouver un enfant perdu en pleurs mais lorsqu’elle écarta les branches, rien ne se trouvait derrière. Perplexe, elle reprit son chemin. De nouveau, elle entendit le même bruissement de feuilles suivi d’un gémissement semblable au précédent. Cette fois-ci, elle pressa le pas, le bruit continuant de la suivre. Il lui semblait l’entendre de tous les côtés et plus elle accélérait, plus il se rapprochait. La sortie apparut enfin devant elle, après ce qui lui parut durer une éternité. Au moment où elle tendit le bras pour ouvrir le portail, une silhouette surgit de l’obscurité et lui sauta dessus. Elle roula au sol en se débattant, se protégeant le visage des mains qui lui lacéraient le visage. D’abord surprise, elle mit un certain temps à se rendre compte que son agresseur ne mesurait pas plus d’un mètre et put donc facilement se débarrasser de lui. Cependant, le répit fut de courte durée car à peine fut-elle debout qu’il se releva et bondit dans les airs. Lorsqu’il fut assez proche de la jeune fille, celle-ci le frappa et il finit sa chute contre un arbre. A ce moment-là, les nuages s’écartèrent et la Lune éclaira son assaillant. Elle s’avança pour mieux le distinguer et retint un cri d’horreur. Ce qui se tenait devant elle n’avait rien d’humain. Un squelette gisait au sol, le bras gauche s’étant détaché du reste du corps et reposant un peu plus loin sur l’herbe. Ses ongles étaient tâchés de son sang et ses dents tenaient fermement un bout de son manteau, arraché pendant leur lutte. Soudain, les os se mirent à trembler puis, lentement, ils se rapprochèrent les uns des autres pour s’assembler et reconstituer le squelette détruit. Ce dernier tourna son crâne vers elle et la fixa de ses orbites vides. Etrangement, il ne l’attaqua pas, comme elle s’y attendait, mais poussa un cri, aigu et plaintif, qui résonna lugubrement dans la nuit. Puis, le silence retomba et avec lui, le brouillard apparut. Une nappe blanche planait désormais sur tout le parc, enveloppant les arbres et les bancs de ses longs bras. La terre remua et s’agita sous ses pieds. Tout d’abord, des centaines de petites mains squelettiques et crochues surgirent. Ensuite, des centaines de crânes aux orbites vides percèrent le sol. Enfin, des centaines de squelettes émergèrent, chacun tenant un petit glaive rouillé. Une armée entière lui faisait face, les bras raclant le sol, leurs ongles produisant un son grinçant sur le bitume. Ils l’encerclèrent et tout comme le premier, restèrent à distance, sans bouger. Paniquée, elle tenta de fuir mais ses jambes refusèrent de lui obéir. Vous avez tous fait ce cauchemar où, incapable de bouger, vous ne pouvez vous enfuir d’une horde d’assaillants et finissez par vous faire dévorer vivant… Tandis qu’elle s’acharnait à essayer de soulever ses pieds du sol, de la fumée monta du sol, formant une colonne verdâtre au milieu du cercle. Une forme humaine se dessina à travers les volutes de fumée et une femme à la peau aussi blanche qu’un cadavre en sortit. Vêtue d’une robe grise et prune, dont le bas était déchiré, elle portait sur ses épaules une cape violette, elle aussi déchirée, qu’elle avait rabattue sur sa tête. Elle possédait pour seul accessoire, un sceptre en bois, surmonté d’un crâne aux cornes dorées. Elle observa l’adolescente de ses yeux rouges luisant comme deux gouttes de sang dans la nuit. Cette dernière ne pouvait détacher son regard de cette scène terrifiante. La sorcière lévita jusqu’à elle et d’une voix lugubre dit :
- Comment oses-tu toucher à mes enfants ? Les malheureux imprudents tels que toi ne méritent que le pire des châtiments, finit-elle dans un sourire carnassier.
A ces mots, elle brandit son sceptre qui émit une sphère lumineuse verte qu’elle lança sur la jeune fille. Celle-ci fut propulsée contre un tronc d’arbre et retomba lourdement au sol. A moitié étourdie, elle vit une partie de l’armée squelettique fondre sur elle et la clouer au sol. Elle s’agita mais malgré leur petite taille, leur nombre était trop grand et elle fut rapidement dépassée. Leurs petites mains s’accrochaient à elle, lui griffant les bras, les jambes et le visage. Certains lui mordaient les mollets, et le sang s’écoula bientôt de tout son corps, formant une auréole macabre autour d’elle. Elle pouvait les sentir grouiller comme des vers contre sa peau meurtrie et bien que cela la répugnât, elle était incapable de sortir de cet enfer. Du coin de l’œil, elle vit que le reste des squelettes s’affairait à creuser un trou et comprit avec horreur ce que la sorcière entendait par « le pire des châtiments ». Elle n’eut cependant pas le temps de s’affoler car deux paires de pattes noires la soulevèrent du sol puis la jetèrent dans le trou. Ses porteurs étaient deux monstrueuses créatures noires pourvues de deux petites ailes sombres et dont le corps difforme était parcouru de lave. Ils se positionnèrent au-dessus d’elle et ouvrant la bouche, ils déversèrent un torrent de flammes qui s’arrêta soudainement, tout près du visage ensanglanté de la jeune fille. Puis, le ciel de lave se fissura et, goutte à goutte, le feu se déversa lentement sur le corps allongé dans la tombe, creusant la chair chaque fois un petit peu plus. Elle hurla jusqu’à la fin et lorsque ce fut terminé, les squelettes l’enterrèrent.
Cette histoire est désormais devenue une légende que l’on raconte aux enfants le soir mais chaque année, au soir d’Halloween, on peut entendre des hurlements provenant de ce parc et jamais personne n’a osé s’y aventurer depuis…
Histoire numéro 3 :
Fichier attaché :
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